Extrait du livret de ses poésies qu’il m’a offert au début des années quatre-vingt-dix du siècle dernier :
Tout le monde passe
Il y en a ceux qui passent sans se retourner sur leur trace…
Il y en ceux qui regardent s’ils n’ont rien oublié ;
puis il y en a ceux qui remplissent leurs poches avec le
bien et le mauvais*.
Mon ami Ménara était de ces derniers. Il s’en va les poings enfoncés dans ses poches pleines. Adieu Abdel.
* Ménara, A. M., Pour une vérité, page 5, Paris, Les Paragraphes Littéraires de Paris, 1975.
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